Un tribunal tunisien a condamné par contumace, vendredi 24 février, l’ancien résident tunisien Moncef Merzouki, résidant en France, à une peine de huit ans d’emprisonnement.
Moncef Merzouki, premier président de Tunisie après la révolution du Jasmin, est accusé de vouloir » changer la forme du gouvernement », « d’incitation à porter les armes », et de « provoquer le désordre » dans le pays.
Moncef Mrzouki avait déjà été condamné, en 2021, à quatre ans de prison pour avoir critiqué le pouvoir tunisien depuis la France. Il était alors accusé de « porter atteinte à la sûreté de l’Etat à l’étranger ».