Le parquet de la cour de justice de Tizi-Ouzou a programmé le procès en appel du militant Hamid Derradj pour ce mardi 1er octobre 2024. Le militant avait été, lors du procès en première instance, à une peine injuste de six mois de prison ferme assortie d’une amende de 200.000 dinars algériens. Ce genre de condamnation et de harcèlement sécuritaire et judiciaire contre les militants et activistes se sont multipliés ces dernières semaines, malgré les promesses et les engagements d’Abdelmadjid Tebboune d’un dialogue national pour édifier la « démocratie véritable » et sortir l’Algérie de la crise.