La chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Tiaret a prononcé, le 8 mai 2024, une peine de six mois de prison avec sursis à l’encontre de l’activiste Mohamed Tarari.
L’activiste est poursuivi pour « publication de fausses nouvelles de nature à nuire à l’ordre public » et » incitation à attroupement non armé ».