Le tribunal de Sétif a rendu son verdict dans l’affaire du militant Hakim Aghilas, le condamnant à six (06) mois de prison avec sursis et à une amende de cinquante mille (50 000) dinars algériens.
Cette condamnation intervient dans un contexte de poursuites répétées visant des citoyens engagés pacifiquement à travers le pays.
Bien que la peine n’entraîne pas d’incarcération immédiate, elle est perçue par les observateurs comme une forme de pression judiciaire destinée à dissuader toute expression critique ou militante.
Des défenseurs des droits humains ont exprimé leur solidarité avec Hakim Aghilas et ont une nouvelle fois appelé à mettre fin à la criminalisation de l’expression citoyenne en Algérie.