Saïd Salhi défenseur des droits humains, réfugié politique et ex vice-président de la Ligue algérienne des droits humains, LADDH dissoute arbitrairement, subit des pressions de l’Algérie pour qu’il cesse son travail pacifique.
Ces pressions se traduisent par des menaces policières contre lui ainsi que contre ses frères restés en Algérie.
Mary Lawlor, Rapporteure spéciale des Nations Unies sur la situation des défenseurs des droits humains, a réagi en déclarant :
« Ces intimidations doivent cesser et Salhi doit être protégé. »