Leila Bormani, militante du Hirak, s’est retrouvée aujourd’hui mercredi poursuivie dans 03 affaires (dossiers). Celles-ci pourraient lui valoir des peines de prison effectives.
Leila Bormani n’est pas une délinquante mais une femme engagée dans la dissidence citoyenne. C’est donc pour ses activités dans le mouvement de dissidence populaire qu’elle est poursuivie.
Que l’opinion ne se méprenne pas. Si la presse aux ordres ne parlent plus des arrestations et condamnations arbitraires, cela ne veut pas dire que l’Algérie est un Etat de droit. La répression est toujours aussi féroce et la surveillance des activistes par le pouvoir particulièrement sourcilleuse.
R.I.