Après avoir été une première fois convoquée, Khadidja Mokhtari a été de nouveau entendue ce jour par la police judiciaire de Tiaret. Cette audition porte sur ses publications concernant la grave crise de l’eau qu’a connue la région en 2024.
La militante affirme que ses écrits ne font que relater une réalité vécue par l’ensemble des citoyens durant cette période critique. Elle rappelle également que la liberté d’expression est un droit fondamental garanti à chaque citoyen, et qu’elle n’a fait qu’exercer ce droit en partageant des faits constatés.
L’affaire soulève une nouvelle fois la question de la protection de la liberté d’expression face aux tentatives d’intimidation, particulièrement en période de crise.
R.I.