Les autorités algériennes ont été saisies par plusieurs mécanismes des Nations Unies, notamment le Groupe de travail sur la détention arbitraire, la Rapporteuse spéciale sur la liberté d’opinion et d’expression, Irene Khan, ainsi que la Rapporteuse spéciale sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association, Gina Romero. Cette démarche concerne les situations du détenu d’opinion Laarbi Tahar et du journaliste Mustapha Bendjamaa
R.I.