Riposte Internationale

Affaire Boualem Boudissa : le parquet requiert une peine plus lourde en apppel

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Lors du procès en appel de l’activiste Boualem Boudissa à la Cour d’Alger, le représentant du ministère public a requis, jeudi 6 février 2025, l’aggravation de la peine prononcée en première instance, tandis que le collectif de défense a plaidé pour sa relaxe pure et simple, arguant de l’absence de fondement des accusations portées contre lui. Le verdict a été renvoyé au 27 février 2025.

Boualem Boudissa avait été condamné en première instance par le tribunal d’Hussein Dey à une peine d’un an de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 dinars algériens. Il avait été reconnu coupable de deux chefs d’inculpation prévus par le code pénal, a savoir; « la propagation de fausses informations susceptibles de porter atteinte à la sécurité publique et à l’ordre public (article 196 bis du code pénal) » et  » l’exposition à la vue du public de publications de nature à nuire à l’intérêt national (article 96 du code pénal) ».