En compagnie de Mohcine Belabbas, au tribunal de Hussein Dey, celui-ci continue d’accomplir son obligation de contrôle judiciaire, en vigueur depuis janvier 2022.
Pourtant, l’instruction a été clôturée, l’affaire jugée le 17 mars 2024, et un jugement rendu le 24 mars 2024 le condamnant à six mois de prison ferme assortis d’une amende de 100 000 dinars. Malgré ce verdict, l’homme politique demeure soumis aux contraintes du contrôle judiciaire.
Le procès en appel s’est tenu le 24 juin 2025 devant la chambre pénale de la cour d’Alger. L’affaire a été mise en délibéré pour l’audience du 8 juillet 2025. Mais, dans son arrêt rendu ce jour-là, la chambre pénale a omis de statuer sur le maintien ou non du contrôle judiciaire.
Ainsi, Mohcine Belabbas reste placé sous un contrôle judiciaire d’une durée exceptionnelle, et ce jusqu’à ce qu’une décision contraire intervienne.
Source : Me. Fetta Sadat sur sa page Facebook