Riposte internationale dénonce avec la plus grande fermeté la condamnation à un an de prison ferme prononcée à l’encontre de Madame Bouraoui Amira, médecin gynécologue de profession militante des droits de l’homme . Cette condamnation intervient dans un contexte de harcèlement et d’arrestation toutes azimutes des militant engagées sur le terrain de la contestation depuis lé 21 Février 2019.
Riposte internationale dénonce ce simulacre de procès ou l’instrumentalisation de la justice s’inscrit dans la continuité. Cet état de fait nous interpelle sur la fuite en avant du régime Algérien qui veut anticiper la fin du confinement par des messages de terreur et de harcèlement judiciaire.
Riposte internationale s’est interrogée sur les chefs d’inculpation retenus contre Madame Bouraoui , Le peuple algérien n’est plus l’otage de ce genre de procédé. Riposte internationale considère que Madame Bouraoui Amira a exercé son droit le plus élémentaire qui celui de la libre expression et qu’à travers cette condamnation c’est l’ensemble des femmes militantes ou pas qui sont directement visées.Riposte internationale considère que la place du Dr Bouraoui Amira n’est pas en prison mais dans un cabinet médical au service de ses patientes et qu’elle n’a pas à renier les engagements politique et associatif qui sont les siens et surtout ne pas être condamnée sur cette base.Riposte internationale considère le Dr Bouraoui Amira comme détenue pour délit d’opinion, elle vient se rajouter à la longue liste des femmes et des hommes victime de l’arbitraire et de l’injustice.