La Cour d’appel d’Alger a programmé le procès en appel de l’opposant politique et ancien détenu d’opinion Fethi Ghares, coordinateur suspendu du parti du Mouvement Démocratique et Social, pour le 3 février 2026. Ce procès concerne une condamnation initiale à deux ans de prison ferme et à une amende de 300 000 dinars.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte marqué par les poursuites judiciaires à l’encontre d’opposants politiques et de militants, qui suscitent régulièrement des préoccupations quant au respect des libertés d’expression et de participation politique. Les observateurs et défenseurs des droits humains dénoncent souvent ce type de condamnations comme une pression sur les voix critiques et les acteurs politiques de l’opposition.
Le procès en appel de Fethi Ghares sera donc un moment clé pour observer le traitement judiciaire des figures politiques critiques en Algérie et les garanties offertes pour un procès équitable.