À Chlef, les autorités ont notifié à l’ancien détenu d’opinion Ali Meqran l’obligation de s’acquitter d’une amende de vingt-trois mille huit cents (23 800) dinars algériens.
Selon la notification, en cas de non-paiement de cette somme, des mesures de contrainte par corps — c’est-à-dire une incarcération pour non-paiement — ou une saisie de ses biens pourraient être engagées à son encontre.
Cette décision suscite l’indignation de plusieurs défenseurs des droits humains, qui y voient une forme de pression judiciaire exercée contre un militant déjà victime de détention pour ses opinions.