
En ce jour, nous rendons hommage aux milliers de femmes et d’hommes tombés à Sétif, Guelma et Kherrata pour avoir osé rêver de liberté, de dignité et d’un avenir souverain.
Leur seul tort : avoir levé haut les drapeaux de l’espoir et de la justice. Ils ont été fauchés dans le silence, ensevelis dans des fosses communes, leurs cris étouffés, mais leur mémoire reste vivante.
Ce jour-là, un peuple a payé de son sang le prix de son courage.
Souvenons-nous. Transmettons. Résistons.
L’histoire ne s’efface pas. Elle s’écrit dans la mémoire des peuples en lutte.
R.I.